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jeudi 27 décembre 2007

Agadir, histoire de la ville

Où dormir à Agadir?

Les Portugais s’y installèrent en 1513, mais la guerre sainte conduites par les princes saâdiens les chasse en 1541 après un terrible siège de six mois.
Les Alaouites s’en emparent à leur tour au 18ème siècle et, pour punir leurs habitants, rebelles à leur autorité, décident de fermer le port et de transférer toutes les activités maritimes à Essaouira, ce qui plongera Agadir dans un sommeil léthargique jusqu’au début du 20ème siècle.
En 1930, la ville deviendra l’une des étapes de l’Aérospatiale : Saint-Exupéry et Mermoz y faisaient escale avant d’entreprendre la traversée de l’Atlantique.
Le terrible tremblement de terre de février 1960
(qui, en 15 secondes, ensevelit 15 000 âmes) n’est plus qu’un mauvais souvenir. La ville, qui s’étend aujourd’hui au pied de la vieille kasbah, a vu sa population tripler depuis le cataclysme (population actuelle : 350 000 habitants).
Entièrement reconstruite, Agadir est devenue une ville moderne également très prisée des Marocains qui apprécient son ambiance cosmopolite.

vendredi 14 décembre 2007

Essaouira, l'île de Mogador


Où dormir à Essaouira?
L'île de Mogador, située non loin de la ville actuelle d'Essaouira sur l'océan atlantique, recèle les traces d'une installation remontant à l'époque phénicienne.
Il s’agit du site phénicien le plus extrême à l'ouest de la Méditerranée occidentale. Les premières fouilles archéologiques, effectuées en 1950, ont permis de récolter sur le site des pièces de monnaies, des fragments en céramique et d'amphores d'époque romaine. Les sondages ouverts sur le site en 1951 ont mis au jour, à plus de deux mètres de profondeur, un matériel nettement plus ancien (lampes puniques, épigraphie sémitique). Les fouilles entreprises entre 1956 et 1959 ont mis au jour, dans
les niveaux inférieurs, une abondante céramique phénicienne, accompagnée de fragments d'amphores grecques et de vases chypriotes du VIIème siècle av. J.-C., ce qui permet de remonter la première occupation du site à la deuxième moitié du VIIème - début du VIème s. av. J.-C
Au Vème siècle, le site de Mogador semble être abandonné au moment même où la pénétration punique s'accentue dans le nord du Maroc; seules quelques amphores prouvent que l'île est encore, épisodiquement, fréquentée avant l'installation maurétanienne. A Mogador sont situées les îles purpuraires du roi Juba II. Au cours des travaux de 1957 une grande habitation maurétanienne fut découverte, elle sera remaniée et agrandie à l'époque romaine.

jeudi 6 décembre 2007

Agadir, la kasbah


Où dormir à Agadir?

Dominant l’océan de 236 m, elle offre une vue remarquable sur la ville...
Les ruines de l’ancienne casbah, avec ses remparts reconstruits après le séisme, subsistent sur la colline ; impossible d’échapper à l’émotion qui étreint lorsqu’on pénètre dans cette immense nécropole. Une inscription datant de 1746 orne encore le portail d’entrée: « Crains Dieu et honore ton roi ».

mercredi 14 novembre 2007

Chefchaouen, héritage andalou

Malgré le fait que la ville de Chefchaouen soit, à côté d'autres villes historiques, d'importance plus modeste, elle a pu abriter, depuis sa fondation à l'époque Wattaside en 1471 un nombre considérable de familles andalouses réfugiées là après la chute de Grenade en 1492.
Ces immigrés ont amené avec eux leurs moeurs, leur mode de vie et de culture. La musique, comme l'architecture et d'autres arts, en font partie. Ils ont tendance ainsi à préférer écouter cette musique savante, fortement chargée de nostalgie, qui rappelle la première patrie et soulage de la séparation du paradis perdu.
Les touristes européens considèrent Chefchaouen comme l'une des merveilles du Maroc : son cachet pittoresque, ses maisons aux murailles passées à la chaux et aux portes peintes
en bleu, aux toits de tuiles andalouses, ses jardins à la végétation luxuriante et ses sources abondantes. Tout cela donne à cette mystérieuse et charmante ville, un aspect méridional des plus séduisant. Charles de Foucauld qui y passa une nuit en 1883, en a laissé une description enthousiaste : «elle n'est, dit-il, que vie, richesse et fraîcheur».

lundi 29 octobre 2007

Casablanca, le Musée de la Villa des Arts

Installé dans une jolie villa des années 30, ce musée présente un ensemble d’œuvres contemporaines, ce qui en fait la première ébauche du musée marocain d’art moderne et contemporain.
Le Musée permet de se familiariser avec les principales personnalités de la peinture marocaine et de découvrir des tableaux des deux pionniers de la peinture moderne, Ahmed Cherkaoui et Jilali Gharbaoui, ainsi que certains de leurs successeurs, tels que Mohamed Kacimi, Farid Belkahia et surtout Mohamed Serghini, abondamment représenté.
Un auditorium, un centre de documentation et une cafétéria ajoutent au charme de cet endroit, qui affiche l’ambition d’être un point de rencontre entre les
artistes et le public.

mercredi 24 octobre 2007

Oukaïmeden, le tour station

Grande classique des habitués de l’Oukaïmeden, à conseiller au printemps, le parcours étant agréable et très varié.
Le refuge du Caf (CLUB ALPIN FRANÇAIS DE CASABLANCA ) à Tacheddirt est un lieu de repos idéal, pour siroter un thé, tout en lézardant au soleil en admirant la vallée et les terrasses verdoyantes.
Au départ de l’Oukaïmeden, prendre le chemin qui traverse le bois des fiancés, franchir le Tizi n'Taratene vers le village d'Amssakrou, remonter la vallée de l'assif n'Imenane vers Tacheddirt. Franchir le col du Tizi n'Ouaddi pour redescendre finalement sur l'Ouka.

mercredi 26 septembre 2007

Chefchaouen, les septes portes

Chefchaouen, que Charles Foucaud a visité et dont il a parlé avec lyrisme, demeure un paradis caché derrière ses montagnes et ses multiples portes. Cette paisible petite ville se caractérise par ses 7 portes, qui constituaient de véritables obstacles contre l'invasion étrangère:
- Bab Al Ain: passage obligé entre le centre actuel de la ville et la médina.
- Bab Souk: c'est la plus grande et la plus haute porte de la ville.
- Bab Al Mahrouk (son nom rappelle qu'elle fut brûlée, jadis, par des tribus rebelles).
- Bab Al Onsar: c'est la porte qui mène à la source de Ras El Ma ("Onsar" = source).
- Bab Sabanines.
- Bab Al Hammar.
- Bab El Mellah: c'est une entrée pour le quartier des juifs qui habitèrent la ville.

jeudi 6 septembre 2007

Tétouan, la medersa et la mosquée Loukach

Construites vers 1758 la medersa et la mosquée Loukach par le Caid Omar Loukach et sur ordre du Sultan alaouite Sidi Mohamed Ibn Abdellah.
La medersa a été construite pour servir de logement des étudiants venus essentiellement des régions environnantes pour suivre des études en théologie dans les différentes mosquées de la médina.

mardi 4 septembre 2007

Tanger, les voyages de Delacroix et Matisse

Delacroix arrive à Tanger en janvier 1832, accompagnant une délégation diplomatique française. Son séjour dans la ville dure jusqu’en mai. Dés son arrivée, il se dit « comme un homme qui rêve et qui voit des choses qu’il craint de voir lui échapper ». Il exécute des milliers de dessins, observant habitations, personnages, costumes, chevaux, armes, impressionné, note –t-il dans ses carnets, par le naturel et surtout par la lumière et la couleur. Beaucoup de ses peintures des années suivantes reprendront des esquisses réalisées à Tanger (‘Noce juive’, ‘Une cour à Tanger’, ‘Chevaux arabes se battant dans une écurie’…)
Lorsqu’en 1912 et 1913 Matisse se rend à Tanger, il a déjà longtemps réfléchi sur l’importance expressive de la couleur : celle-ci ne doit pas reproduire le réel, mais refléter les émotions. Ses séjours à Tanger accentuent cette perception : les formes sont épurées, seules comptent la lumière, les couleurs et leurs oppositions pour traduire les sentiments. A ses yeux, le Maroc est l’illustration du paradis, les paysages marocains sont « un message céleste en langage terrestre »

mercredi 4 juillet 2007

Tétouan, le Royal Golf de Cabo Négro

Derrière Tétouan et les sommets du Rif , dans un lieu enchanteur entre ciel et mer, le Royal Golf de Cabo Négro, a été dessiné par Hawtree & Sons, dans la plus pure tradition britannique.
Le parcours de 9 trous offre un tracé spontané et naturel en bordure de Méditerranée seulement séparé par quelques dunes de sable et une végétation basse sculptée par le vent.
Les fairways des trous n°1 et 2 trous peuvent bien se permettre d'être larges et généreux, car leurs greens sont farouchement gardés par des arbustes touffus. Le trou numéro 3 joue des dunes, le n°5, un superbe par 5 à flanc de colline, est barré d'un ruisseau.

mardi 26 juin 2007

Laâyoune, présentation de la ville

Fondée par les Espagnols en 1932, Laâyoune fut à l’origine une grande oasis sur l’oued Sakia el Hamra (fleuve mythique auquel J.M.Le Clézio fait référence dans ‘Désert’) qui traverse le Sahara marocain d’Est en Ouest.
C’est aujourd’hui la capitale provinciale du Sahara Marocain et un important centre administratif et minier.
Alors qu’on pouvait la croire perdue dans son Sud lointain, la ville a vu croître son importance économique grâce au voisinage du gisement phosphatier de Boukraa, à la proximité des Canaries, et à la volonté du gouvernement marocain.

Ville en peine expansion, Laâyoune présente une place centrale majestueuse, bordée d’échoppes d’artisans bijoutiers sahraouis. Les bâtiments ont été conçus dans un style moderne respectant l’architecture saharienne classique. De la place partent des rues rectilignes le long desquelles sont bâties des maisons généralement basses, le plus souvent coiffées de coupoles. Le vieux quartier, dans la partie basse de la ville, avec sa cathédrale et son ancien Parador, témoigne du passé espagnol.
C’est aussi la ville-étape à partir de laquelle on peut se lancer à la découverte du désert dont les dunes de sable s’étendent sur une distance de 300 km au sud de la ville, et où font halte plusieurs rallyes automobiles.

jeudi 14 juin 2007

Agadir, le golf du Soleil

Situé juste à coté du golf des Dunes, Le golf du Soleil est un superbe golf de 27 trous dessiné par l’architecte Fernando Muella.
Sur un domaine de 86 hectares les trois parcours offrent au passionné une extraordinaire diversité de jeux et de sensations. L’environnement doucement vallonnées est un vrai plaisir pour les yeux avec des variétés d'essences innombrables : eucalyptus, tamaris, genêts blancs, palmiers, arganiers, bougainvilliers...
La diversité technique des trois parcours exige une sélection réfléchie de bois et de fers et autorise tous les niveaux de jeu.
Parcours Jaune : 9 trous en par 36, les fairways
bordés de genêts blancs, défendus par de forts bunkers obligent une large sélection de fer.
Parcours Bleu : 9 trous en par 36, plus technique et plus varié que le précédent agrémenté de nombreuses pièces d’eau.
Parcours Rouge : 9 trous en par 36, de toute évidence le plus technique des 3 parcours avec de longs par 4 et de greens plus larges.

jeudi 17 mai 2007

Fès, Le musée des armes

Où dormir à Fès?

Le musée des armes se trouve dans un fort militaire construit en 1582 sur ordre du Sultan Ahmed El Mansour pour surveiller et protéger la ville de Fès contre les menaces étrangères.
En 1963, ce fort devient le musée des armes en abritant la collection de "Dar Snah". Installée auparavant au palais du Batha, cette collection provient en grande partie de la Makina, arsenal fondé par le sultan Moulay Hassan 1 à la fin du XIXè siècle.
Différentes collections y sont présentées, armes de chasse et de défense datant de la préhistoire en passant par un canon marocain en bronze remontant au XVIème siècle, au total plus de 1000 pièces réparties dans 15 salles différentes….

jeudi 3 mai 2007

Asilah, le Cromlech de M'zora ou M’Soura


Situé à 25 km au Sud d’Asilah en direction de Larache, le tertre de M'zora ou Cromlech de M’Soura est l'un des plus célèbres monuments funéraires du nord-ouest marocain.
Cromlech de M’Soura est composé d’un cercle de 167 menhirs entourant un tumulus de près de 55m de diamètre, la plus haute de ces monolithes mesure plus de 5 m.
Selon la légende, ce monument serait la tombe du géant d'Antée, fils de Neptune et de la Terre, après qu’Hercule l’eut terrassé.

lundi 30 avril 2007

Location de Riads au Maroc





Outre le privilège d’une vue unique sur le Palais El Badi, nos hôtes seront charmés par l’authenticité de ce Riad et par la qualité de son accueil dans la tradition marocaine fait de douceur, d’intimité et de gaieté.









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